Sujets et corrigés Bac de Philosophie 2025
La dissertation, l’explication de texte, la page blanche à dompter... L’épreuve de philosophie reste un moment singulier dans la scolarité d’un lycéen. Sur cette page, nous publierons les sujets tombés au Bac Philo 2025, ainsi que les corrigés complets rédigés par un de nos enseignants de philosophie certifiés par l'Éducation nationale, pour les voies générale et technologique.
Quand seront publiés les sujets corrigés ?
L’épreuve est prévue pour le lundi 16 juin 2025 au matin. Nos équipes mettront en ligne les sujets dès leur sortie officielle, suivis dans l’après-midi par des corrigés détaillés, structurés et pédagogiques, rédigés selon les attentes de l’Éducation nationale.
Les corrigés vous aideront à :
- Identifier les enjeux philosophiques majeurs
- Comprendre les attendus de la méthod
- Mettre en lumière les concepts mobilisables
- Mieux évaluer votre performance post-épreuve
Les sujets du Bac de philosophie 2025
Voie générale
Notre corrigé du Bac de philosophie 2025
Sujet 1. Notre avenir dépend-il de la technique ?
1. Analyse du sujet
Ce sujet mobilise deux notions du programme, à savoir la technique et le temps. Cela dit, étant donnée la formulation, la technique est essentielle et le temps accessoire. D'ailleurs, le sujet n'évoque pas le temps en tant que tel, mais seulement une de ses dimensions : l'avenir. Il importe donc de se focaliser sur la technique et sur son rapport avec l'humain. La technique vient de l'homme et rétroagit sur lui, le transforme, le formate. Tel est le sujet, tel qu'on peut le comprendre.
Le sujet étant extrêmement large, on peut se focaliser sur le rapport à la liberté de la technique. On pourrait aussi interroger la justice ou encore la raison. Bien sûr, comme à chaque fois que l'on évoque la technique, la science n'est pas loin.
2. Éléments d'introduction et problématique possible
La technique couvre l'ensemble des procédés de fabrication, de maintenance et de gestion, qui utilisent des méthodes issues de connaissances scientifiques ou simplement des méthodes issues du savoir-faire artisanal et industriel.
La technique occupe une place croissante dans nos vies. Qu’il s’agisse de l’intelligence artificielle, de la médecine, des transports ou encore des communications, elle semble façonner notre quotidien et ouvrir des perspectives nouvelles, tout en suscitant des inquiétudes. Dès lors, on peut se demander si notre avenir – c’est-à-dire ce que deviendra l’humanité – dépend nécessairement de la technique, ou si d’autres facteurs (valeurs morales, choix politiques, liberté humaine) jouent un rôle aussi, voire plus important.
Quant à l'avenir, il renvoie à ce qui sera plus tard, les événements futurs.
Sommes-nous à ce point conditionnés par les avancées techniques que notre futur en serait totalement déterminé ou bien demain pourrait-il, par une sorte de sursaut humain, redonner plus de place à la liberté et au sensualisme ?
3. Conseils méthodologiques
En convoquant la notion d'avenir, ce sujet invite à mobiliser plus que d'habitude des exemples tirés de l'actualité (IA, robotique, transition écologique etc.). Or le danger est de tomber dans le catalogue d'exemples. Il faut toujours avoir en tête qu'une dissertation est une démonstration qui, en tant que telle, va d'un point de départ à un point d'arrivée en suivant différentes étapes logiques. Exemplifier, ce n'est pas argumenter, c'est seulement illustrer et donc de nombreux exemples tirés de l'actualité, certes riche, ne peuvent pas suffire.
Ensuite, ce sujet s'avère relativement large, si bien que l'effort de problématisation est plus important encore que d'habitude. Il est indispensable de choisir un angle d'attaque du sujet et de s'y tenir. Il est impossible et malvenu de tout dire.
N'oubliez pas de prendre le correcteur par la main, ce qui suppose de toujours rappeler où vous en êtes de votre démonstration et de soigner les transitions.
4. Plan
Partie I. La technique modèle l'avenir de l'homme.
Au XXIe siècle, la technique est devenue l'enjeu du siècle, pour reprendre le titre d'un célèbre ouvrage de Jacques Ellul. Il est, dès lors, difficile d'imaginer comment l'homme pourrait évoluer au cours des décennies et des prochains siècles sans que la technique qu'il a créée joue un rôle décisif, allant de la médecine à la communication. L'IA est tout spécialement préoccupante. Certains vont jusqu'à prophétiser sa prochaine prise de pouvoir, les hommes étant réduits en esclavage par elle, plus ou moins consciemment. Sans atteindre de pareilles extrémités, il est évident que l'IA est appelée à subroger ou seconder l'homme dans de nombreux pans de son existence individuelle et collective. Cela remet en question les libertés, la justice, l'humanité ou encore la philosophie.
Certains, comme les transhumanistes, vont jusqu’à penser que la technique permettra à l’homme de dépasser ses limites biologiques, voire de vaincre la mort. Ainsi, la technique apparaît parfois aussi comme une force déterminante, voire salvatrice, pour notre avenir.
Auteurs possibles : Heidegger, Anders, Simondon, Hottois
Partie II. Notre avenir dépend autant de la conscience et de la responsabilité humaines que de la technique.
Pour Hannah Arendt, la technique moderne dépossède l’homme de sa capacité à penser et à agir librement. Le danger est qu’en poursuivant un progrès technique sans réflexion éthique, l’homme perde le contrôle de ses propres créations.
De plus, la technique ne détermine pas les valeurs : elle nous donne des moyens, mais ne dit pas pour quoi ni pour qui les employer. L’avenir ne dépend donc pas seulement de ce que la technique permet, mais aussi de ce que nous choisissons d’en faire.
Il serait réducteur de dire que notre avenir dépend uniquement de la technique. Celle-ci n’est qu’un outil – puissant, certes – mais toujours subordonné à des choix humains. Le problème n’est pas que la technique progresse, mais qu’elle progresse plus vite que notre réflexion morale et sociale.
L’avenir dépend alors de notre capacité à maîtriser la technique, à en faire un usage juste et réfléchi. C’est là qu’interviennent l’éducation, la politique, la philosophie : elles permettent de penser le sens et les limites du progrès technique. Il ne s’agit pas de rejeter la technique, mais de l’intégrer dans un projet humain global, qui respecte la liberté, la justice et la dignité.
Auteurs possibles : Simone Weil, Jacques Ellul, Hannah Arendt
Partie III. La liberté est la valeur qui doit guider l'avenir de l'homme.
Un avenir technocentré est avant tout un avenir qui nuit à la liberté et donc à l'humanité. Pour conserver notre liberté, donc notre humanité, nous devons, pour chaque décision qui mobilise l'un ou l'autre objet technique, nous demander si cela ne porte pas atteinte au couple liberté-humanité.
La technique n'est pas neutre, elle est par nature totalitaire. Sans contrôle humain, elle détruit plus qu'elle construit. Il est donc indispensable d'exercer un contrôle éthique et moral sur la technique, cela en premier lieu en la jugeant à l'aune de la liberté. Tout ce qui est possible techniquement n'est pas bon humainement. Pour ne pas se laisser déborder par la technique, donc pas sa création, l'homme doit impérativement conserver la lucidité et la conscience qui, normalement, le caractérisent. Il est homo sapiens autant qu'homo faber ou homo technologicus.
Une technique qui étend ses tentacules sans contrôle humain est une technique susceptible de dégénérer. Il est donc impératif d'organiser des comités éthiques et autres moyens de contrôler le développement de la technique, se rappelant, avec Rabelais, que science sans conscience n'est que ruine de l'âme.
Auteurs possibles : Rousseau, Sartre, Mill, Bergson, Arendt
Conclusion
Notre avenir dépend incontestablement de la technique, tant elle influence nos modes de vie, nos capacités et nos projets. Mais il serait dangereux de croire qu’elle en est le seul facteur. Sans conscience morale, sans responsabilité politique et sans réflexion collective, la technique peut autant mener à la catastrophe qu’à l’émancipation.
Notre avenir dépend donc moins de la technique elle-même que de la manière dont nous l’inventons, la guidons, et l’utilisons. Pour cela, l'élément essentiel est la liberté, principal gage d'humanité.
Sujet 2. La vérité est-elle toujours convaincante ?
1. Analyse du sujet
Ce sujet mobilise un seul thème du programme : la vérité. Il est néanmoins possible de trouver quelques éléments dans les cours sur la science et la conscience, notamment. Si, suite au cours, on comprend bien ce qu'est la vérité, la notion de conviction est plus délicate à cerner. Il s'agit de comprendre qu'une proposition a beau être parfaitement en rapport avec les faits, on peut rester dubitatif devant elle ou même insatisfait.
À l'ère des fake news et de la désinformation généralisée, ce sujet est d'une grande actualité. Il est aisé de trouver de nombreux exemples dans l'actualité de personnalités plus ou moins connues pour qui la vérité n'a que peu de poids et qui usent et abusent de la désinformation.
2. Éléments d'introduction et problématique possible
En général, on définit la vérité soit comme un jugement conforme à son objet (on parle alors de vérité-correspondance), soit comme un jugement non-contradictoire (on parle alors de vérité-cohérence). Son caractère universel la distingue de l’opinion qui est toujours particulière. D’un point de vue théorique, elle s’oppose à l’erreur et à l’illusion (qui diffère de l’erreur en ce qu’elle persiste même quand elle est expliquée).
La quête de la vérité est le but même de la philosophie. Ainsi pour Platon, le Vrai constitue, avec le Beau et le Bien, une valeur absolue.
Dans la quête de connaissance, la vérité semble être une valeur suprême. Elle est ce à quoi aspire la science, ce que recherchent les philosophes, ce que revendiquent souvent les croyants ou les moralistes. Par définition, la vérité désigne l’accord entre une proposition et la réalité. Si elle est ce qui est conforme à ce qui est, on peut penser qu’elle devrait naturellement s’imposer à l’esprit de tout être rationnel. Pourtant, dans la pratique, il arrive que certaines vérités ne soient pas reconnues, qu'elles suscitent même rejet ou indifférence.
Suffit-il qu’une idée soit vraie pour qu’elle persuade et emporte l’adhésion ou bien d'autres conditions doivent-elles s'y ajouter ?
3. Conseils méthodologiques
Devant un tel sujet, il est précieux de rester modéré et de ne pas tenir un propos polémique ou trop politisé. Pour ce faire, mobiliser un maximum de références philosophiques permet de prendre de la distance. Les exemples tirés de l'actualité sont également un bon moyen de gagner en neutralité. Néanmoins, et surtout dans la troisième partie, il est bon de s'engager car un tel sujet ne peut donner lieu à un propos trop impersonnel. Comme en tout, tout est question de juste équilibre.
Bien sûr, la copie sera jugée à l'aune de la formulation de la problématique, de la cohérence de l'articulation problématique/plan, de la richesse et de la pertinence des arguments, de la quantité et de la qualité des références philosophiques mobilisées et de la capacité à illustrer son propos au moyen d'exemples tirés de l'actualité.
Par rapport à un tel sujet, un risque réel est de donner trop de poids aux illustrations factuelles et de manquer de références proprement philosophiques. La vérité reste le sujet fondamental aux yeux de nombreux philosophes et avant tout des métaphysiciens et de tous les tenants de la raison pure.
N'oubliez pas de prendre le correcteur par la main, ce qui suppose de toujours rappeler où vous en êtes de votre démonstration et de soigner les transitions.
4. Plan
Partie I. La vérité semble posséder une force intrinsèque qui la rendrait necessairement convaincante.
Pour beaucoup de philosophes classiques, la vérité est la plus grande richesse, la seule quête, le bien ultime. On mobilise sa raison et son esprit, on coupe tout lien avec son corps, et on recherche la vérité. Il relève alors de la définition même de la vérité que d'être convaincante.
Selon Platon, par exemple, la vérité éclaire l'âme et lui permet de sortir de l'ignorance, comme dans l’allégorie de la caverne. Une fois qu’on accède à la lumière de la vérité, on ne peut plus se satisfaire de l’ombre des illusions.
Dans une perspective rationnelle et idéaliste, la vérité, une fois établie, devrait convaincre tous les esprits éclairés.
Auteurs possibles : Platon, Aristote, Kant, Descartes, Hegel...
Partie II. Certaines vérités peuvent ne pas nous convaincre, la vérité n'existe qu'à l'échelle subjective d'un sujet.
Dans la tradition sceptique, les vérités philosophiques sont subjectives, donc relatives. Ce qui est vrai pour toi ne l'est pas forcément pour moi et inversement. C'est d'ailleurs toute la force de la philosophie que de nous enseigner que tout se discute et que tout est question d'arguments qui se confrontent. La présente dissertation du baccalauréat en est une parfaite illustration en ce qu'elle défend une thèse en contradiction avec la thèse précédente.
Par ailleurs, au-delà des vérités de l'esprit, il y a les vérités des corps. Celles-ci sont a fortiori personnelles, subjectives, donc discutables ou du moins difficiles à communiquer.
Enfin, certaines vérités peuvent déranger, heurter nos émotions, notre ego, nos valeurs. Freud montre que l’inconscient, qui est une vérité psychique, est souvent refusé car il remet en cause l’idée d’un moi maître de lui-même. Il existe aussi des vérités dites « brutales », trop difficiles à accepter pour qu’elles soient convaincantes. Par exemple, une vérité sur la mort ou l’injustice du monde peut provoquer du rejet ou de la fuite plutôt que de la conviction.
Auteurs possibles : Socrate, Freud, Pyrrhon, Aristippe, Épictete, Épicure.
Partie III. Les vérités scientifiques sont beaucoup mieux acceptables que les vérités philosophiques.
Finalement, il faut peut-être distinguer selon qu'il s'agit d'une vérité scientifique, vérité démontrée qui s’impose logiquement à l’esprit, ou d'une vérité philosophique par essence instable et réfutable. Alors que les sciences progressent depuis toujours, on dit souvent que la philosophie ne fait pas de progrès.
Il existerait donc une division fondamentale au sein du monde de la vérité, celle de la science et de la philosophie, avec des degrés d'acceptabilité très différents pour l'une et l'autre.
Au-delà, la force de conviction d’une vérité dépend souvent de sa formulation, du contexte, et du rapport entre celui qui la dit et celui qui l’entend. Comme le dit Pascal, « Nous ne nous tenons jamais à la vérité, mais à la persuasion ». Il distingue l’ordre du cœur (affectif) de celui de la raison : on peut être convaincu sans être persuadé, et inversement.
Conclusion
La vérité n’est pas toujours convaincante : si elle possède une force logique, elle se heurte souvent aux limites humaines – émotions, croyances, intérêts. Ce qui convainc dépend à la fois de la nature de la vérité, de celui qui l’énonce et de celui qui la reçoit.
Dès lors, chercher à convaincre suppose non seulement de dire le vrai, mais aussi de savoir comment le dire. Cela rappelle qu’il ne suffit pas d’avoir raison pour convaincre : encore faut-il toucher l’autre dans ce qu’il est.
Sujet 3. John Rawls, Théorie de la justice
1. Éléments d'introduction
Une société en bonne santé est une société dans laquelle chaque citoyen peut participer à la vie publique, une société démocratique.
Dans ce texte tiré de Théorie de la justice de John Rawls, philosophe anglais du XXe siècle spécialiste de philosophie juridique et politique, l'auteur aborde ainsi le thème du rapport entre libertés individuelles et participation à la vie publique.
Il développe plus particulièrement la thèse selon laquelle l'égalité dans la distribution des richesses est une condition de la justice sociale qui est elle-même une condition de la démocratie au sens le plus fort du thème.
Le problème que tente de résoudre John Rawls dans son texte est donc celui de la relation entre l'égalité dans la propriété et la distribution des richesses et l'égalité du point de vue des libertés publiques. Pour lui, il faut prendre des mesures de compensation pour préserver la juste valeur des libertés politiques égales pour tous.
2. Plan
I. Le principe central autour duquel s'articule le texte est que la participation plus ou moins directe des citoyens à la vie publique est une condition cardinale de leur inclusion sociale. John Rawls explique ainsi que les libertés qui sont protégées par le principe de participation perdent une bonne partie de leur valeur quand ceux qui possèdent les plus grands moyens privés ont le droit d'utiliser leurs avantages pour contrôler le cours du débat public. Car, finalement, ces inégalités rendront les plus favorisés capables d'exercer une plus grande influence sur le développement de la législation.
II. Ensuite, John Rawls explique que les inégalités socio-économiques constituent un cercle vicieux avec les inégalités juridiques et politiques. Les unes nourrissent les autres, qui nourrissent les unes en retour. Cela ne peut être toléré du point de vue d'une théorie de la justice. Les privilégiés seront de plus en plus privilégiés, tandis que les plus défavorisés seront chaque jour un peu plus défavorisés.
III. C'est pourquoi, dans le dernier paragraphe, l'auteur invite tous les législateurs du monde à prendre, tant qu'il est encore temps, des mesures de compensation afin de limiter les inégalités socio-économiques et, de ce fait, renforcer les libertés politiques, les libertés collectives. Une liberté collective suppose que tous ceux qui, à l'intérieur du groupe social, en jouissent perçoivent l'existence d'un lien communautaire entre eux, ce qui est impossible lorsque les niveaux de richesse, et donc finalement les conditions d'existence, sont diamétralement différentes.
3. Ouverture
Ce texte est d'une formidable actualité. Autant dans le commentaire que dans la conclusion, il est pertinent de le confronter à la situation actuelle dans certains pays d'Europe ou encore aux États-Unis. L'état démocratique d'une nation ne dépend-il pas dans une large mesure de la capacité des institutions à assurer une suffisamment juste redistribution des richesses afin qu'aucun citoyen ne se sente négligé et n'envisage les libertés publiques comme quelque-chose qui ne le concerne pas ?
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FAQ : Corrigés Bac Philosophie 2025
À quelle heure seront disponibles les corrigés ?
Ils seront publiés progressivement une fois l'épreuve de philosophie terminée.
Y aura-t-il plusieurs corrigés possibles par sujet ?
Pour chaque sujet, un corrigé principal sera proposé, mais d’autres pistes ou alternatives pourront être mentionnées.
Les corrigés sont-ils adaptés à la voie technologique ?
Oui, les deux voies sont traitées séparément pour respecter les attendus spécifiques.
Ce qu’il faut retenir
L’épreuve de philosophie n’est pas un simple devoir scolaire, c’est un exercice de pensée. Que tu choisisses de disserter sur le bonheur ou d’interpréter un texte de Spinoza, tu trouveras ici les outils pour comprendre, progresser, et prendre du recul.
Le jour J, reviens sur cette page pour consulter les sujets officiels et les corrigés détaillés. Et d’ici là… révise un peu et fais-toi confiance, tu vas briller !